Trésor vintage de 1967 retrouvé !

Voilà une pièce rare qui est unique et chère à Maurice Renoma : sa veste militaire en laine bleu marine, un uniforme « Sécession ».

55 années séparent les archives de presse de 1967 aux photos prises dans nos bureaux.

  • Prêt à Porter, 1967
  • Lucienne R. Alexandre, 1967
  • Le Figaro, février 1967
  • Monsieur, 1967

Archive insolite : les Yé-Yé s’emparent du Palais de Justice !

En 1967, Maurice et Michel Renoma réinventent la robe d’avocat traditionnelle : plus chic, plus cintrée, avec les épaules plus étroites, raccourcie pour les femmes. Qualifiée de « mini-robe qui met en émoi le Palais de Justice », cette nouveauté n’est pas du goût de tout le monde. Elle est considérée par certains comme une insulte au métier d’avocat et à l’institution de manière générale.

Et pourtant ! C’est la déferlante, tous les « minets » de la Génération Renoma la veulent ! Et ce n’est pas l’avocate Maître Geneviève Diry, alors âgée de 25 ans, qui dira le contraire. Un scandale a éclaté lorsqu’elle s’est présentée avec la robe d’avocat made-in Renoma, la cour jugeant qu’il lui manquait quelques centimètres… à sa robe ! Pour la petite histoire, l’avocate était également mannequin, on imagine qu’elle devait la porter avec classe.

ARCHIVES :

New York Herald Tribune, février 1967

Paris Match, janvier 1967

L’Aurore, avril 1967

« Cristobal, le poisson rouge » dans la presse 🗞️

Saint-Quay-Portrieux sous le feu des projecteurs : « Cristobal, le poisson rouge » fait partie des expositions à voir en région cet été.

Franceinfo culture : « Christian Louboutin s’est installé à Monaco, Azzedine Alaïa en Provence, la maison On Aura Tout Vu dans le Nord, Maurice Renoma en Bretagne… Voici notre sélection de sept expositions à découvrir cet été. »

Merci à Corinne Jeammet de nous citer dans sa belle sélection estivale sur Franceinfo culture. ☀️


Ouest France : « Pollution, surconsommation… Renoma expose au port de Saint-Quay-Portrieux.
« Cristobal le poisson rouge », par l’artiste Maurice Renoma, c’est l’exposition événement de l’été à Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Des images poétiques et ludiques pour une alerte écologique.
»

Retrouvez toutes les informations concernant l’exposition « Cristobal, le poisson rouge » à ce lien.

Encyclopédie de la mode de MAM-e.

La plus grande encyclopédie de la mode au monde, hébergée par le web magazine MAM-e, propose un beau portrait de Maurice Renoma. À lire sur : https://moda.mam-e.it/renoma/

«RETROUVER LE STYLE DE TOUTE UNE ÉPOQUE »

LE FIGARO (17 Avril 2020) «RETROUVER LE STYLE DE TOUTE UNE ÉPOQUE » texte Valérie Guédon […]
« À l’époque, tout ce que la capitale compte de célébrités défile dans la petite boutique de Maurice et Michel Renoma, rue de la Pompe dans le 16ème arrondissement. 
Depuis son lieu de confinement à la campagne, Maurice se souvient amusé du temps où il habillait Pierre Richard  » resté un habitué à la maison« , Louis de Funès « souvent en colère, ce qui nous faisait beaucoup rire, nous croyant dans une de ses scènes. » Patrick Dewaere qui avait pris l’habitude  » de grimper dans la vitrine en caleçon« . Mais aussi le casting des comédies populaires d’Yves Robert qui d’ailleurs, filme son frère Michel effectuant les essayages du costume pourpre de Jean Rochefort dans Un éléphant ça trompe énormément. « ll n’y avait pas de costumier derrière leurs dégaines, simplement leur goût adapté à leur personnage » reprend le styliste et photographe septuagénaire. »  

Les Argentiques de Maurice Renoma

La Galerie Sophie Leiser Artphotoby présente

MAURICE RENOMA Solo Show

Maurice Renoma dévoile des photographies – certaines inédites – intemporelles, sensuelles et mystérieuses, en noir et blanc.
 Les cadrages, les éclairages sans filtre, la lumière naturelle, les flous … témoignent de l’acte pulsionnel et spontané que Maurice Renoma veut traduire dans ces photographies. Explorateur infatigable du corps féminin, il met en lumière les émotions qui naissent de la grâce d’une attitude, d’un regard, d’une marque encrée sur une cuisse ou un dos, le velours du grain de la photo se confond avec celui de la peau. Les Argentiques de Maurice Renoma donnent envie de toucher la matière, les matières qui les habitent et les font vivre intensément. La scénographie qui accompagne l’exposition joue sur la correspondance des images et des sons qui semblent émaner des photographies. Celles-ci deviennent présentes, vivantes, instantanées.

Galerie Mandarine 15 rue de Seine Paris 6e
jusqu’au 5 décembre
2019

La presse en parle