Une Série de Photos Ensoleillées signée Maurice Renoma

L’été, c’est cette saison où le soleil danse sur la peau, où les couleurs prennent vie et où les souvenirs se façonnent sous le ciel bleu. Maurice Renoma, l’artiste multidisciplinaire et visionnaire, a su capturer toute l’essence de cette saison éclatante à travers différents clichés intemporels.

L’Été en Lumière : Les Photographies d’un Artiste Visionnaire

Les photographies de Maurice Renoma sont imprégnées de sa vision artistique. Que ce soit un paysage sous un soleil vibrant, des silhouettes qui se détachent sur une plage dorée ou des jeux de lumière, Maurice Renoma a le chic pour saisir un instant de vie fugace, cocasse, tendre… et le fixer dans l’éternité.

Le Charme de la Simplicité Estivale

Ce qui rend les photos estivales de Maurice Renoma si captivantes, c’est leur simplicité authentique. Elles ne sont pas surchargées de détails, mais plutôt centrées sur l’émotion et l’atmosphère. Chaque image respire la légèreté de l’été, rappelant aux spectateurs que parfois, les moments les plus précieux sont les plus simples.

En somme, les photos estivales de Maurice Renoma sont bien plus que de simples images. Elles sont des poèmes visuels, des instantanés d’émotions et des témoignages intemporels de la saison estivale.

La montre Renoma : intemporelle !

Dans la fin des années 80, la marque Renoma commercialise ses montres. Des accessoires indémodables qui vont de pair avec l’homme chic et parfaitement apprêté ! De l’archive papier au vrai prototype, voici quelques images.

1977 : le manteau à manches amovibles, c’est la liberté

« Sport ou habillé, les nouvelles fringues de liberté ». Renoma a été le premier au monde à inventer le manteau à manches amovibles.

Le modèle porte un imperméable réversible en flanelle et toile de bâche, dans deux tons de beige.

Argus de la presse : « Officiel de la Couture » septembre 1977

Trésor vintage de 1967 retrouvé !

Voilà une pièce rare qui est unique et chère à Maurice Renoma : sa veste militaire en laine bleu marine, un uniforme « Sécession ».

55 années séparent les archives de presse de 1967 aux photos prises dans nos bureaux.

  • Prêt à Porter, 1967
  • Lucienne R. Alexandre, 1967
  • Le Figaro, février 1967
  • Monsieur, 1967

« Saint-Laurent ne jure que par Renoma ! »

Si Saint-Laurent a habillé le monde, Renoma a habillé le monde et Saint-Laurent ! Dans l’édition France Soir de juin 1965, Renoma est mis à l’honneur ! En effet, le célèbre couturier à la taille mannequin a visité la boutique historique de Renoma, rue de la Pompe, pour choisir ses costumes d’été. Retour en images sur un moment d’exception !

Archive insolite : les Yé-Yé s’emparent du Palais de Justice !

En 1967, Maurice et Michel Renoma réinventent la robe d’avocat traditionnelle : plus chic, plus cintrée, avec les épaules plus étroites, raccourcie pour les femmes. Qualifiée de « mini-robe qui met en émoi le Palais de Justice », cette nouveauté n’est pas du goût de tout le monde. Elle est considérée par certains comme une insulte au métier d’avocat et à l’institution de manière générale.

Et pourtant ! C’est la déferlante, tous les « minets » de la Génération Renoma la veulent ! Et ce n’est pas l’avocate Maître Geneviève Diry, alors âgée de 25 ans, qui dira le contraire. Un scandale a éclaté lorsqu’elle s’est présentée avec la robe d’avocat made-in Renoma, la cour jugeant qu’il lui manquait quelques centimètres… à sa robe ! Pour la petite histoire, l’avocate était également mannequin, on imagine qu’elle devait la porter avec classe.

ARCHIVES :

New York Herald Tribune, février 1967

Paris Match, janvier 1967

L’Aurore, avril 1967

Plongée dans les années 70 🤿

L’accessoire ultime d’un été réussi, d’après nous, reste évidemment le maillot de bain ! Retour sur deux modèles de la Maison, datant des années 1970 : 

© Archives Renoma 

Happy Andy Day !

Andy Warhol est né un 6 août ! En 1982, il se rend en Chine continentale pour la première et unique fois de sa vie, paré à toute aventure grâce à son blouson multipoches Renoma.

Il est invité avec quelques proches à Hong-Kong par Alfred Siu, un jeune industriel qui avait commandé des portraits du Prince Charles et de Lady Di pour I Club, une grande discothèque qu’il ouvrait sur l’île. À leur arrivée, Siu surprit ses hôtes en leur annonçant qu’il avait pu leur organiser un voyage VIP pour visiter Pékin, la Cité interdite et la Grande Muraille.

Christopher Makos, Andy With Chinese Couple, Great Wall, 1982. Courtesy of Makos Archive, New York.